Ça y est, le 41e Festival International du court métrage est lancé ! Aujourd’hui, on revient sur la cérémonie d’ouverture et nous vous proposons, comme promis, un petit guide pratique du festivalier.
C’est avec une note canadienne que la cérémonie d’inauguration que Jean-Claude Saurel, président de l’association Sauve qui peut le le court métrage. Vétu d’un maillot de hockey et d’une crosse, l’homme que nous ne présentons plus inaugure la séance avec un discours inspiré et engagé, mettant en avant les forces et l’engagement du festival comme véritable vecteur social et d’enrichissement culturel.
« On met longtemps à devenir jeune », Pablo Picasso, cité par Jean-Claude Saurel
La cérémonie, présentée par Pierre Zéni, Tim Redford et Stéphane Souillat, proposera une présentation à la fois des différents jury, tout en proposant un véritable panorama de ce que propose le festival. C’est ainsi que nous avons pu voir à la fois du court métrage français, international, animé ou encore musical. Une belle entrée en matière, d’autant plus que les courts métrages présentés ici étaient de qualités ! Nous avons eu pour commencer Berlin Troïka de Andrej Gontcharov, un court faisant parti de la rétrospective Short in Translation. Une belle petite découverte et un très bel exemple de cette programmation spéciale autour du langage. Si les personnes présentes à la seconde séance ont pu profiter de Guest de Yoon Ga-eun, nous avons (re)découvert le cinéma de Nadav Lapid, membre du jury international, avec son Lama? ( Pourquoi? ).
Cette ouverture à porté parfaitement son nom en proposant une présentation de ce que nous réserve cette 41e édition, tout en proposant un programme de court de qualité, un engagement de ce que nous allons voir durant les prochains jours ! Une belle mise en bouche. Maintenant, place au petit guide pratique !
Comme tout bon festivalier qui se respecte, il y a quelques informations et outils qui vous seront pratique pour survivre à cette semaine pleine d’image. Tout d’abord, nous espérons que vous avez déjà votre petite liasse de billet, auquel cas nous vous conseillons de vous en procurer. Si le catalogue du festival est un immanquable, les plus connectés d’entre vous auront bien entendu téléchargé l’application mobile qui vous aidera à savoir quoi voir au dernier moment si vous avez raté une séance. Faites attention à ne pas tomber deux fois sur la même séance ! Si vous ne savez pas bien quoi voir, nous vous conseillons bien entendu de suivre à la fois le #ClermontFF19 sur les réseaux et le site collaboratif Note ton court qui propose au public de noter chaque séance. La brasserie du festival, véritable blog de l’intérieur, vous proposera également de nombreuses informations utiles et complémentaire autour des films.
Vous avez une petite faim ou une petite soif ? Les food trucks seront là pour vos papilles. De notre côté, nous vous conseillons La Brasserie, juste en face de La Maison de la Culture, qui proposera une buvette où vous pourrez déguster une bonne bière tout en vous rassasiant. Si vous vous trouvez du côté de la place de Jaude, Le pont de Jaude reste une bonne alternative ! Pour les petites bourses, nous vous conseillons de prévoir dans votre sac de quoi casser la croûte le temps d’attente entre deux séances. Bien entendu, vous pourrez trouver dans la Maison de la culture cafés, crêpes ou encore des rafraichissements. Le passage à la boutique de La Maison de la Culture sera également l’occasion de repartir cette année avec le sac annuel, mais de notre côté, nous avons craqué pour un bonnet aux couleur du pays à l’honneur, le Canada.
Danger Zone 