Alors je ne sais pas du tout comment introduire cette série d’article un peu écrit sur le vif, beaucoup beaucoup trop tôt le matin pour pouvoir dire avoir un véritable sommeil, mais Bienvenue dans le 4e épisode de ACDF consacré au premier jour de Beauregard 2017.

Après une matinée passée dans les transport, sac à dos et tente à mes côtés, je suis arrivé au camping du festival. Comme à son habitude l’ambiance y est déjà chaleureuse, et on retrouve des bénévoles perdus des vue et l’on y rencontre de nouvelles tête venant de divers horizons. Beauregard à la chance, en comparaison de pas mal de festival, de ne pas être catégorisé comme un festival de rock ou d’électro, mais d’être simplement un festival de musique. C’est donc intéressant de voir que si on ne partage pas forcément les mêmes goûts musicaux, on partage cette passion d’aider à la bonne tenue d’un tel événement. Maintenant assis sur un transat, café sur la table, parlons un peu du festival en lui même. Beauregard, c’est un Fest pas très grand, mais pas petit non plus. Doté de 2 scènes, il permet une charge de 30 000 personnes par concert dans un site qui possède un véritable charme. Entouré d’arbres, de différentes allées, il est très agréable de se promener sur le site du festival, qui possède la bonne taille selon moi. La décoration cette année est restée assez minimaliste, mais reste visible, permettant surtout de mettre en avant tout le décor naturel la nuit.

Musicalement que nous a proposé ce premier jour ? Pour le coup, j’ai travaillé de 21h à 3h donc les concert du soir ont été vu partiellement, mais assez selon moi pour juger de la prestation.

Avec une après-midi toute en douceur, les groupes de sont enchaînés, avec une petit fil rouge de sonorités électronique, qui semble omniprésente aujourd’hui. À noter la prestation du groupe français Her qui nous a proposé un son soul avec un groove ravageur, grâce notamment aux performance du bassiste et du chanteur, faisant vraiment le travail.

Je n’ai pas vu Benjamin Biolay et Métronomy donc je ne parlerais pas de leur performance. Mais passons aux deux poids lourds de la soirée : Midnight Oil et Placebo.

Midnight Oil, revient sur le devant de la scène avec une tournée mondiale, la première depuis un paquet d’année. Groupe fétiche des quarantenaire et cinquantenaire, le groupe propose aujourd’hui une vision du rock trop peu présente aujourd’hui. Tous sont d’excellents musiciens, et propose une performance très solide, faisant du bien au petit cœur de rocker qui reste très present en moi. On pourra regretter par contre l’aspect trop carré du concert, chose qui sera beaucoup trop présente sur l’ensemble du festival je pense.

Placebo est, de son côté, un groupe du cœur. Gérant cette année ses 20 ans d’existence, le groupe propose une tournée calibré et doté d’une scénographie assez impressionnante, mettant en avant ces vingt années de groupes. Je connais le groupe véritablement depuis l’album Meds, grâce à ma cousine qui est une très grosse fan (et présente également ce soir là). Cela faisait donc bien 10 ans que je voulais voir le groupe, et quel plaisir !


Je suis pour ma part très fan des tout premiers albums, et j’ai été super content de pouvoir entendre des chansons de Black Market City, Mon album préferé, et notamment Without You, I’m Nothing, chanson enregistrée à l’époque avec David Bowie. À époque différente, Placebo est un groupe qui caractérise le rock des années 90, empruntant leur influences dans le glam rock autant que dans les débuts de la new wave anglaise, et propose un son puissant et fort. Si on pourra reprocher également le côté très calibré du concert, il est pardonné par la mise en scène vraiment agréable, et cette volonté de proposer un spectacle marquant pour les fans du groupe.

Après les deux gros moment rock de la journée, place à l’électro avec Møme et Boyz Noise. J’ai pour ma part vu que la prestation du second, qui nous a proposé un DJ set plutôt puissant, correspondant à l’électro que j’aime plutôt, et assez varié.

La journée du samedi s’annonce être quand à elle placée sous le signe de la musique et du rock, avec un bon petit nombre de groupe que j’attend : Editors et Phoenix pour être surpris sur scène, mais avant tout Iggy Pop, sortant d’un de ses meilleurs album; Airbourne qui proposera un concert vraiment fun et efficace; avoir une petit avant goût de Ibrahim Maalouf avant Marciac et découvrir les mythique groupe Echo and the Bunnymen en concert.

Je vous dis donc bonne journée et à demain sur Danger Zone !

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